𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞𝐬𝐜𝐨, 𝐩𝐞𝐮𝐱-𝐭𝐮 𝐭𝐞 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐧𝐭𝐞𝐫 ?
J’ai 41 ans, originaire de Bruxelles, mes études se sont orientées vers l’horeca. J’ai ouvert mon restaurant familial, qui était situé dans la Galerie Louise à Bruxelles. Après cette expérience, je me suis dirigé dans la peinture en bâtiment. J’ai 2 garçons, Alessandro 15 ans et Gianni 14 ans, qui ont intégré la famille Brainoise cette saison. Mon parcours sportif a débuté à 6 ans au sein du club de La Forestoise. J’y suis resté toute ma jeunesse et au fil de ce parcours, je me suis vu attribuer 3 mérites sportifs.
Au fil du temps, l’envie de me lancer en tant que formateur grandissait. Ma 1ère expérience a débuté au RFC Houdinois, où mes 2 garçons ont effectué leurs 1er pas sur un terrain. Au bout de plusieurs années, j’ai souhaité relever un nouveau challenge et, ayant entendu du positif du RSB, j’ai intégré la famille Brainoise. Je remercie M. Lansmanne pour sa confiance.
𝐐𝐮𝐞𝐥 𝐞𝐬𝐭 𝐭𝐨𝐧 𝐫𝐞𝐠𝐚𝐫𝐝 𝐬𝐮𝐫 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐂𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 ?
Je suis admiratif du travail effectué par tout le staff. Les joueurs sont très bien encadrés, le travail des délégués est remarquable, les éducateurs bénéficient du suivi de leur coordinateur, … Comme éducateur, j’espère poursuivre mes objectifs et faire partie des nombreux projets du club, car le RSB n’est pas qu’un club mais une famille ! Un Centre de formation et une école de foot, d’où plusieurs pépites ont pu s’envoler vers d’autres horizons.
𝐐𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐭𝐨𝐧 𝐚𝐧𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞 𝐝𝐮 𝐠𝐫𝐨𝐮𝐩𝐞 𝐞𝐧 𝐜𝐞 𝐝𝐞́𝐛𝐮𝐭 𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧 ?
Nous avons bien commencé cette saison malgré la crise sanitaire. Les annulations de matchs sont nombreuses mais, dans l’ensemble, je suis assez fier de mon groupe U11. Les entraînements mis en place, avec plusieurs thèmes qui s’enchaînent chaque mois, sont très constructifs pour le groupe. Nous avançons pas à pas de manière progressive. Le développement en atelier une fois par semaine avec mon collègue Hafid Akki est aussi très enrichissant.
Le point fort du groupe est d’être très solidaire et lié. Ils doivent continuer à progresser au niveau technique et la gestion de l’espace est encore à travailler, aussi bien en possession qu’en perte de balle.
En ce qui concerne le début de championnat, nous avons presté des rencontres avec beaucoup d’intensité et le groupe répond présent dans la gestion des situations rencontrées. Les joueurs sont à l’écoute et parviennent peu à peu à aborder les rencontres avec une approche plus conquérante.
◼️ 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐯𝐢𝐬-𝐭𝐮 𝐥𝐚 𝐬𝐢𝐭𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐚𝐧𝐢𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 ?
Je vis la crise sanitaire au jour le jour. Sur les terrains, plus rien ne ressemble à la vie d’avant… Un point important est le vestiaire. Sans lui il y a beaucoup moins d’échanges. Il permet de préparer les plans de jeu et des présentations sur tableau donnent des repères aux joueurs. Tout ceci est impossible au bord du terrain. Par temps de pluie et de froid, les enfants sont obligés de se changer à l’extérieur ou de rentrer dans les voitures dans des conditions inconfortables.
